Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
Cette collection de notes (ms. E de Schmitz), presque intégrale (il manque quelques notes) diffère des autres témoins par l'agencement des deux derniers commentarii. En raison d'une rognure importante des feuillets, la plupart des notes de débuts de chapitres, ainsi que souvent la première ligne, ont été perdues. La marge inférieure des ff. 28-31 a été découpée, peut-être accidentellement. En plusieurs endroits où la rognure est moindre en haut de f., on lit une pagination antérieure au déplacement d'un quaternion (f. 40-47), qui doit être inséré entre les f. 87 et 88. Les Commentarii commencent sans préface: f. 1v. Une seconde main a ajouté quelques descriptiones (cf. Legendre, 1905, p. V sqq.) en marge ou dans l'interligne. f. 1-98. (1, 1) (seul le bas de la note subsiste) ... Plateola (126, 161). Les notes 51,12-22 manquent. f. 96-98. Ces ff. présentent un arrangement différent des deux derniers commentarii (5-6); ils ont été édités à part par Schmitz aux tab. 125-126 (de Adam à Plateola). f. 98r. « Expliciunt notae Senici numero quinque milia » répété en dessous, avec comme unique variante « Seni » à la place de « Senici » pour Senecae. Le verso est resté vacant et a reçu postérieurement des essais de plume, parmi lesquelles se trouve un nom propre: « Alberus».
Source des données : Europeana regia
Source des données : Mandragore
Ce ms. proviendrait de Saint-Pierre de Corbie selon L. Delisle qui a mis en relation une note (peut-être de Pierre Pithou ?) rédigée sur un autre ms. des Commentarii (BnF, lat. 8779, f. 51v, voir cette notice) avec l'explicit final de celui-ci. Il a appartenu àClaude Dupuy (inventaire n° 59 ; voir Delatour 1998, p. 209-210, n° 627), dont on lit le nom au f. 1r : « liber notarum Claudii Puteani » (de la main de Claude Dupuy). Le 26 mai 1652, après la mort de Pierre, Jacques Dupuy légua toute leur bibliothèque par testament à la Bibliothèque du roi. Ces volumes y entreront en 1657 après sa mort le 17 novembre 1656. Les 260 manuscrits anciens faisaient partie du legs (voir Delisle I, p. 335-336 et Omont, Concordances, p. 77-78).
Source des données : Bibale
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