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Source des données : BnF Archives et manuscrits
F. 2ra-169vb. [PETRUS LOMBARDUS Sententiarum libri IV] (P. L., CXCII, 561-962 et BRADY, 1971 et 1981). L. I : [ Prologus ] « Cupientes aliquid de penuria ac tenuitate… – … librorum capitula distinguuntur premisimus » ( éd. cit. , 3-4) (2ra-2rb) ; « … capitula primi Libri ( rubr. ) ». « Omnis doctrina est de rebus vel de signis… – … Utrum passiones sanctorum aut velle aut nolle debeamus ». « Expliciunt capitula primi Libri ( rubr. ) » (2va- 3rb) ; « … Liber primus in nomine Domini ( rubr. ) ». « Veteris ac nove legis continentiam diligenti… – … voluerunt quem Deus noluit ». « Explicit Liber primus. De ministerio [ corr. misterio] Trinitatis. Incipit secundus de rerum creatione et formatione corporalium et spiritualium et aliis pluribus eius [ corr. eis] continentibus ( rubr. ) » ( éd. cit. , 55-328) (3rb-51va). – L. II : [ Prologus , rajouté par une autre main]. « [Q]ue ad misterium divine unitatis… – … nunc ad considerationem creaturarum transeamus » ( éd. cit. , 327) (51va) ; « Creationem rerum insinuans Scriptura… – … ut in malis nulli potestati obediamus » ( éd. cit. , 327-580 ) (52ra-91rb). – L. III : « [C]um venit igitur plenitudo temporis… – … sunt ut vitiorum fere occidantur » ( éd. cit. , 23-229) (92ra-121ra) . – L. IV : « … Prologus quarti Libri ( rubr. ) ». « His tractatis que ad doctrinam rerum pertinent… – … ad doctrinam signorum accedamus » ( éd. cit. , 231) (122ra) ; « … Liber quartus de sacramentis ubi quatuor considerata sunt prius ( rubr. ) ». « [S]amaritanus enim vulnerato appropians… – … ad pedes usque via duce pervenit » ( éd. cit. , 231-560) (122ra-169vb).F. 169vb : [Liste des opinions du maîtres des Sentences qui ne sont plus tenues (main de la fin du XIIIe s.)] (éd. E. A., Synan, « Nineteen Less Probable Opinions of Peter Lombard », Medieval Studies , 27, 1965, p. 340-344 ; CUP I, n°194). « Nota quod in VIII locis non tenetur oppinio magistri in libro Sententiarum. In primo libro sunt duo unum videlicet d. XVII quod… – … in hiis .VIII. [positionibus] communiter doctores parisienses non secuntur Magistrum » F. 170 : [Notes théologiques] « Quantum intenderis tantum facis hanc regulam… – … secundum mensuram regule qua mensus est nobis Deus » ; [ versus ] « Homo natus de muliere… – … et ideo sub fletu » ; [Notes annalistiques] « Nota quod felicis recordationis Dominum Clementem papam .IIIItum. arripuit febris continua anno Domini .Mo. .CCo. .LXo. .VIIIo. die martis in media nocte ante festum sancte Cecilie virginis que sibi duravit usque ad diem mercurii parum post auroram ante festem beati Andree Apostoli in qua hora ut firmiter creditur sancti angeli ipsius animam recaperunt [sic, pro receperunt] » ; « Nota quod bone memorie Dominum Penestrem (?) anno Domini .Mo. .CCo. .LXXo. prima die julii et fuit in die martis in octavis beati Johannis Baptiste post prandium arripuit febris continua que sibi domiravit usque ad diem Mercurii post octavas Apostolorum qua die videlicet ipso sumpno dicti patri in Domino obdormivit » (différentes mains du XIIIe s.) F. 121ra : [ Versus ] « Posse triplex rebus dant vis, natura, potestas / et quartum donare potest divina voluntas…. – … est pila pes pontis, pila ludus, pila taberna / pila terit pultes et pila geruntur in hostes. » Voir Admont, Stiftsbibliothek cod. 759, f. 188v [Quot modis dicitur pila].
Source des données : Mandragore
Collège de Sorbonne . Ex libris de la Sorbonne, suivi de l’estimation (f. 1v) : « Iste liber est pauperum magistrorum in theologica facultate studentium ex legato magistri Michaelis dicti Herlekin. Precium .C. sol. paris. Deo gratias ». Cf. catalogue de 1338, N.a.l. 99 « Sentencie 22 », [p. 63] : « 18. Sentencie ex legato Michaelis Hellequin incipit in secundo folio ex quo [f. 3ra] in penultimo electi [f. 168ra] Precium centum sol. ».Légué au collège de Sorbonne par Michel Herlekin, sorbonniste. Il a, avant 1290, fait don au collège de mss et de coupes. Cf. Glorieux, Aux origines , I, p. 319 ; Delisle, Cab. des mss ., II, p. 163 et Rouse, R. H., « The Early Library of the Sorbonne… », p. 65 (repris dans M. A. ROUSE & R. H. ROUSE, Authentic Witnesses : Approaches to Medieval Texts and Manuscripts , Notre-Dame, 1991, p. 368). Seul subsiste le lat. 15707 Emprunteurs: [d’après Le registre de prêt …, p. 720] : Jordanus Morini (avant 1403) ; Johannes Ladoree (1411). Probablement un nom d’emprunteur (f. 1) : « Hohioet » (identifié comme « Holnoet », maître dont le nom figure dans le lat. 16505 et signalé par L. Delisle : voir Cab des mss , II, p. 187). Prix : « (…) Precium .C. sol. paris. (…) » (f. 1v) Cote de 1338 (f. 1v) : « XVIIIus » ; Cotes modernes : cote XVIIe s. « 71 » (f. 1), cote XVIIIe s. « 517 » (contreplat supérieur, dotée d’une longue mention « Ce ms du 13e s a été légué à la maison de Sorbonne par M Michel dit Darlequin, il contient les 4 livres des Sentences de Pierre Lombard évêque de Paris mort en 1164 et enterré à Saint-Marcel. On trouve dans cet ouvrage une proposition condamnée par Alexandre III, la voici : Christus secundum quod est homo, non est aliquid. Cet exemplaire cy est fort beau et paraît être de la fin du 12e siècle ou du commencement du 13e étant bien différent par l’écriture de ceux que nous avons dans les numéros précédents. O. Gailler de Sansalle, bibliothécaire, 1783 » Annotations: Exemplaire des Sentences remarquablement peu annoté. Certaines annotations semblent avoir été sévèrement rognées (voir f. 2rb, marge ext. : identification des autorités scriptuaires citées dans le prologue). Le ms a été très soigneusement corrigé. Certaines annotations paraissent contemporaines du texte et peuvent parfois s’inscrire dans une mise en page en triangle (voir f. 12v). On relève l’intervention d’au moins deux autres annotateurs qui interviennent notamment au L. IV : l’un (deuxième moitié du XIIIe s.) utilise une encre très noire (voir f. 144v) et est en partie responsable de l’indication en marge des distinctiones (voir par ex. f. 148v-149). Cette main mentionne de nouvelles autorités mais se contente pour l’essentiel d’expliciter la pensée du Lombard. La seconde main (fin XIIIe s.-début. XIVe s.) utilise une encre très claire, renvoie essentiellement aux autorités scripturaires et patristiques. On lui doit aussi, en partie, la numérotation des distinctiones . Enfin, il convient de signaler des annotations à la mine de plomb (numérotation des distinctions, annotations très effacées dans les marges inférieures : voir par ex. f. 169).
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