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Source des données : BnF Archives et manuscrits
ff. 1r-27r : Héron d'Alexandrie, Pneumatica, éd. W. Schmidt, Heronis Alexandrini opera quae supersunt omnia, vol. 1, Leipzig Teubner, 1899.ff. 1-37v : Livre I, Titre Ἥρωνος Ἀλεξανδρέως πνευματικῶν πρῶτον, incip. Τῆς πνευματικῆς πραγματείας, expl. ἡ ἐπιστροφὴ γίνηται. La numérotation des chapitres n’est pas cohérente avec celle de l’édition. Au f. 13v commence, en face du numéro ε’, le chapitre 6, mais au troisième mot de la ligne, on passe au chapitre 24. Cette lacune est mise en évidence par une main différente. Elle correspond exactement à celle qu’on trouve par exemple dans le Paris. gr. 2517 avant restitution d’un fragment de lacune par Ange Vergèce, ou telle quelle dans le Paris. gr. 2514. De ce fait, manquent les chapitres 6 à 23.ff. 27r-44v : Livre II, Titre Ἥρωνος Ἀλεξανδρέως πνευματικῶν δεύτερον, inc. Ἀγγείου κατασκευὴ... expl. ἐκκρεμάσομεν τὸ βάρος au f. 42r. Manquent les chapitres 3 et 22-23. ff. 42r-44v : addition des chapitres 34-37, expl. προσενεχθέντος αὐτῷ ποτηρίου πίεται / Τέλος τοῦ δευτέρου τῶν Ἡρωνος πνευματικῶν.
Ce manuscrit, copié par deux mains non identifiées, ne donne pas d’indices sur son origine. On remarque qu’il présente au f. 13v la même lacune que celle dont Nicolas Sophianos prend acte en copiant le Paris. gr. 2517, et que celle-ci est identifiée par la main postérieure qui ajoute dans la marge ἐνταῦθα λείπει πολύ. Le texte s’achève à la fin du chapitre 32 du livre II, mais une autre main vient compléter les ff. 42r à 44v avec les chapitres 33 à 37.On ignore par quelles voies le codex entra en possession du mathématicien français Claude Hardy. A la mort de ce dernier en 1678, la plupart de ces manuscrits furent acquis par Colbert (voir Jackson). L’inventaire de Hardy et la liste d’achats établie par Baluze ne sont pas complets, mais ils permettent d’identifier ce manuscrit comme le numéro 198 (cote qui pourrait correspondre à celle qui a été grattée au f. 1r, au niveau de la cote regius) de l’inventaire de Claude Hardy.L'ensemble de la bibliothèque de Colbert fut acquise par la bibliothèque royale en 1732.
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