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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
ff. 1-177. Guillaume de Lorris et Jean de Meung , Roman de la rose : « Maintes genz dient que en songes / N'a se fables non et mençonges ...-... Ainsi heuz la rose vermeille/Atant fu jour et je m'esveille » .
Manuscrit nommé La par la critique.
Source des données : Jonas
Ce manuscrit a appartenu à Jacques d'Armagnac selon la note du dernier feuillet: « En ce present livre du Roumant de la Rose a cent et lxxxix feilletz, histoires .xxj. Ce present volume du Roumant de la Rose est au conte de la Marche. Pour Carlat. Jacques». Selon Langlois, la signature grattée de Jacques se devine encore. Le manuscrit est entré dans les collections royales sous le règne de François Ier. Le manuscrit est répertorié dans les collections royales : inventaire de Nicolas Rigault (1622); inventaire de Pierre et Jacques Dupuy (1645); inventaire de Nicolas Clément (cote Regius 1682). Nombreuses notes, partiellement effacée sur la couverture: « La botique de messire Jehan de Merdon» (XVe siècle); «Trois paroles sont perdues c'est assavoir quant on est a cheval chaucié d'esperons et on dit a son cheval da avant, l'autre quant on est a belle table ou il a bien a mengier et on dit a son compaignon mengez, l'autre quant on est couchié avec belle dame et on lui dit tournez vous de ça. Et aussi trois eaues sont perdues c'est assavoir eaue ou on baptise viel juif, l'autre l'eaue que on met en bon vin et l'autre l'eaue o vieille putain se baigne» (XIVe-XVe siècle); « Colas le Dieu de Vaulx» (XVe siècle); «Hugues», «Plante burde». Le manuscrit a été collationné au XIVe siècle, et a reçu de nombreuses corrections et de nombreuses additions : ajouts de rubriques (voir, par exemple, les feuillets 2, 24, 29 v), ajouts de vers manquants (voir, par exemple les feuillets 25, 47v, 71, 74, 95v, 96v, 97v, 98v, 116v, 140v). Ces ajouts sont placés en bas des colonnes où le texte aurait dû s’insérer, les vers concernés sont indiqués par un symbole. L’encre noire utilisée pour la collation est plus foncée que celle du texte. Les feuillets 37 et 92 ont été ajoutés au XIVe siècle, de même que les vers 17213-17216. Le dernier feuillet a été remplacé à la même époque et le texte primitif s'arrête au vers 21719.Annotations marginales partiellement rognées. En tête du feuillet 140, qui commence au vers 17901 et où la prescience de Dieu est discutée, on a écrit au XIVe siècle: « Nota contre l'oppinion de Jehan du Pré ».
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