Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
Moteur de recherche de manuscrits et livres anciens numérisés et intéropérables
Plateforme collaborative de gestion de publication des données d'autorité Biblissima
Aide à la lecture et apprentissage des langues anciennes, outils et environnements de travail en XML
Service d’expertise autour des standards IIIF
Référentiel d'autorité Biblissima : https://data.biblissima.fr/entity/Q69062
Collection IIIF
Manifestes IIIF dans cette collection
Type de numérisation non spécifié
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
F. 1r-222r : Augustinus Hipponensis, Enarrationes in Psalmos CI-CXVIII ; inc. « Ecce unus pauper orat e non orat in silentio. Placet ergo audire eum… », expl. « …ab eadem littera incipiunt quam praeponunt » (éd. E. Dekkers, J. Fraipont, Turnhout, 1956, CCSL 40 ; éd. F. Gori, Wien, 2011 et 2015, CSEL 95/1-2).
Source des données : Mandragore
Le ms. a été copié à l’abbaye Saint-Pierre de Cluny pendant la seconde moitié du XIe siècle. Il peut être identifié avec l’item 131 du catalogue rédigé sous l’abbé Hugues (qu’il s’agisse d’Hugues de Semur, comme l’a proposé Veronica von Büren, ou bien d’Hugues III, comme l’avait proposé Delisle), dont une copie est conservée dans le ms. Latin 13108 et des extraits dans le ms. Latin 13071, f. 137-139) et publié par Léopold Delisle (Catalogue du fonds Cluni, p. 344). En 1645, lors de son passage à Cluny, dom Anselme Le Michel consulte le ms. et il le recense dans la liste de livres dressée à cette occasion : cf. ms. Latin 13071, f. 140-147, en particulier f. 144v (« A2, Augustinus a psalmo 100 ad 118, antiquissimus », éd. L. Delisle, Catalogue du fonds Cluni, p. 389). Il est l'item 65 du catalogue de l'an IX de la Révolution, rédigé par Bauzon, bibliothécaire de l’École centrale d'Autun (cf. la copie de ce catalogue dans le ms. NAL 1521).Ensuite, les mss. de l'ancienne abbaye sont dispersés : une partie d'entre eux fut conservée à l’École centrale d'Autun, où ils subirent des mutilations multiples ; puis, à la Bibliothèque publique de la ville de Cluny (cf. la cote « Cluny 57 » au f. 1r, et l'estampille aux f. 1r et 222v). En 1881, la ville de Cluny renonce en faveur de la Bibliothèque Nationale à la jouissance de ce qu'elle avait conservé des manuscrits et des chartes de l'abbaye (cf. le n° 2751 du Registre des acquisitions, noté aussi au f. 1r du ms.), et le transfert du fonds se conclut dans la même année.
Exports RDF à venir…
Vous pouvez visualiser et manipuler ce document directement sur ce site, le comparer à d'autres grâce au visualiseur Mirador, ou glisser-déposer cette icône dans le visualiseur IIIF de votre choix. En savoir plus sur IIIF