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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
Commence par : "La premiere espitre de Penneloppes à Ulixes. Puisque tu es du retour paresseux, o Ulixes, de cueur trop angoisseux [...]". Finit par : "[...] et à Phaon à present t'en iras, lequel du tout en brief advertiras. Finit l'espitre de Sapho à Phaon, qui est la dereniere de cest oeuvre".
Mention "Exp. XIX / 218" au crayon à papier, au contreplat supérieur, correspondant au numéro de vitrine et d'ordre de la galerie d'exposition (galerie Mazarine), fin du XIXe siècle.
Source des données : Jonas
Source des données : Mandragore
Vraisemblablement réalisé pour Louise de Savoie (encadrements des miniatures semés de "L" et d'ailes de moulin) ; François Ier ; bibliothèque personnelle de François Ier (n° 260 au contreplat supérieur) ; librairie royale de Fontainebleau ; ancien fonds royal (Inv. fin XVIe siècle, n° 2484 ou 2485 : "Epistre d'Ovide, en rithme, par Octavian de Sainct Gelais" et "Epistre d'Ovide, en rithme françoise, par Octavian de Sainct Gelais" (le second étant le Français 875) ; titre du XVIIe siècle au contreplat supérieur : "Epistres d'Ovide en rithme françoise par Octavian de Saint Gelais evesque d'Angoulesme").Le manuscrit a longtemps été considéré comme provenant de Louis XII, avant d'être rendu à Louise de Savoie. Le doute sur le propriétaire originel a cependant subsisté, certains considérant le volume comme provenant auparavant des collections des Bourbons. Les enluminures étaient originellement ceintes de simples cadres argentés, rapidement recouverts de larges marges dorées semées de "L" et d'ailes de moulin. Certains de ces symboles ont en outre été repris, en raison de l'oxydation des cadres argentés restés en sous-couche.
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