Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
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Source des données : BnF Archives et manuscrits
1 (ff. 1-8v) Barlaam de Seminara , Démonstration arithmétique, Βαρλαὰμ Πυθαγορείου ἀριθμητικὴ ἀπόδειξις ἐπ’ ἀριθμῶν ἀνάλογον ἔχουσα τοῖς γραμμικῶς ἐπὶ εὐθειῶν ἐν τῷ β’ τῶν Εὐκλείδου στοιχείων ἀποδεδειγμένοις ms. (éd. J. L. Heiberg et E. S. Stamatis, Euclides…, t. V, 2. Scholia in libros VI-XIII, Leipzig 1977, pp. 351-362). Le texte est précédé (f. 1, ll. 1-16) d’une préface, inc. Ἐπεὶ εἶδον πολλαχοῦ τοὺς μαθηματικοὺς χρωμένους, des. ὅπερ ἐπιστήμης ἐστὶν ἰδιαίτατον.
2 (ff. 9-76) Barlaam de Seminara, Logistique, Βαρλαὰμ Πυθαγορείου λογιστικῆς ms. (éd. J. Chamber, Barlaami monachi logistica…, Paris 1600) : a(ff. 9-19) prologue et livre 1, b(ff. 19-33) livre 2, c(ff. 33-40) livre 3, d(ff. 40v-46v) livre 4, e(ff. 46v-62v) livre 5, f(ff. 62v-76) livre 6.
Source des données : Pinakes
HISTOIRE – Au début du XVIIe s., le ms. fait partie de la bibliothèque du cardinal de Richelieu (cf. Ch. Astruc, « Les manuscrits grecs de Richelieu », Scriptorium 6, 1952, pp. 3-17 et pl. 8) ; il y est coté B 3. 3 (f. Cv, numéro 3). Dans l’inventaire rédigé par le libraire T. Blaise en 1643, après la mort de Richelieu, il porte le numéro 2525. Par arrêt du Parlement de Paris en date du 14 février 1660, il passe avec le reste de la bibliothèque du cardinal à la Sorbonne (cachet aux ff. 2, 61 et 76v) : dans le catalogue de Guédier de Saint-Aubin rédigé vers 1740, il est coté 1243 (f. A, cote inscrite par Gayet de Sansale, dernier bibliothécaire de la Sorbonne, au-dessus d’une notice sommaire du volume). Il rejoint la Bibliothèque nationale en 1796. Estampille de la Bibliothèque nationale (Première République) aux ff. C et 76v (type Josserand-Bruno 17).
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