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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
ff. 1r-90v : Claude Ptolémée, Harmoniques, éd. I. Düring, Die Harmonielehre des Klaudios Ptolemaios, Göteborgs Högskolas Arsskrift 36, Göteborg, 1930.ff. 1r-33v : Pinax du Livre 1, puis Livre I, Κλαυδίου Πτολεμαίου ἁρμονικῶν πρῶτον, expl. ὅτι τοὺς ἡγουμένους δύο λόγους ἔχει τονιαίους. ff. 33v-65r (62v-63v : vacat) : pinax du Livre II, puis Livre II, Κλαυδίου Πτολεμαίου ἁρμονικῶν δεύτερον, expl. f. 65r τῆς ἐξαρχῆς ἐπὶ τὰς ἰσοτονίας ἀποκαταστάσεως + diagramme. ff. 65v-91v : Pinax du Livre II, puis Livre III, Κλαυδίου Πτολεμαίου ἁρμονικῶν, τρίτον, expl. f. 80v τοὺς δὲ τοῦ Ἄρεος πρὸς τὸν ἥλιον καὶ τὸν Δία πάντας ἐπισφαλεῖς + 3 pages de figures et tableaux.
ff. 92r-131v : Nicomaque de Gérasa, Introduction Arithmétique, éd. R. Hoche, Nicomachi Geraseni Pythagorei introductionis arithmeticae libri ii, Leipzig, Teubner, 1866.ff. 92r-111v : Livre I, Νικομάχου πυθαγορικοῦ Γερασηνοῦ ἀριθμετικῆς εἰσαγωγῆς τῶν εἰσ δύο τὸ πρῶτον, expl. τετράγωνος ὡσαύτως ἐστί / τέλος τοῦ πρώτου βιβλίου. Ff. 111v-131v : Livre II, Νικομάχου πυθαγορικοῦ Γερασηνοῦ ἀριθμετικῆς εἰσαγωγῆς βιβλίον δεύτερον, expl. τοσαῦτα ὡς ἐν πρώτῃ εἰσαγωγῇ ἀρκείτω / τέλος τῆς Νικομάχου ἀριθμητικῆς εἰσαγωγῆς.
ff. 132r-178r : Théon d’Alexandrie, Grand commentaire aux tables faciles de Ptolémée, éd. J. Mogenet et A. Tihon, Le grand commentaire de Théon d'Alexandrie aux tables faciles de Ptolémée, Città del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana, 1985-1991 : Inc. Θέωνος Ἀλεξανδρέως προοίμιον / τὴν λογικὴν ἔφοδον... expl. τὰς ἀφαιρέσεις τῶν ἐπὶ (…).
ff. 179r-207v : Théon de Smyrne, Exposition des connaissances utiles pour la lecture de Platon, éd. E. Hiller, Theonis Smyrnaei philosophi Platonici expositio rerum mathematicarum ad legendum Platonem utilium, Leipzig, Teubner, 1878, pp. 1 l.1 - 119 l.21. : inc. Θεῶνος Σμυρναίου πλατονικοῦ τῶν κατὰ τὸ μαθηματικὸν χρησίμων εἰς τὴν τοῦ Πλάτονος ἀνάγνωσιν : ὅτι ἀναγκαῖα τὰ μαθήματα, expl. καὶ τῶν κατὰ ἀστρονομίαν.
Source des données : Pinakes
Ce volume n’est pas la copie intégrale d’un seul antigraphe, mais un groupement de textes. Le texte des Harmoniques de Ptolémée (ms. N. 42, Düring) appartient à la tradition de l’édition de Nicéphore Grégoras (de même que celui du Paris. Coisl. 173, ms. N. 51 Düring). Pour le commentaire de Théon d’Alexandrie aux Tables de Ptolémée, il s’agit d’une copie directe, soignée et attentive, du manuscrit V (Vat. Gr. 190), le plus ancien témoin conservé pour ce texte (Tihon). A. Tihon suppose que ce manuscrit a été copié à Constantinople, mais n’exclut pas la possibilité de l’attribuer au centre de Thessalonique. Le Paris. gr. 2450 a ensuite servi d’antigraphe au Barberinus gr. 273 (ms. B pour Théon d’Alexandrie, cf. A. Tihon), copié à Rome pour Francesco Barberini au XVIè siècle, lorsqu’il se trouvait déjà dans la bibliothèque du cardinal Ridolphi. Le Cardinal Ridolphi n’a vraisemblablement pas acquis ce codex par l’intermédiaire de Janus Lascaris, car dans l’inventaire conservé dans le Vat. Gr. 1567, f. 38v, la mention de ce volume n’est pas accompagnée du monogramme Λσ caractéristique.Le bibliothécaire du cardinal Ridolphi, Matthieu Devaris, a apposé sur le premier folio la cote ancienne, le numéro 9 de la quatrième caisse, passé ensuite dans la cinquième caisse. La même mention de la caisse, avec la même correction, se trouve à la fin du Paris. gr. 2451 ; elle n’étonne pas, puisque les deux volumes sont très proches par leur contenu, et devaient donc être rangés ensemble. On doit également à Devaris l’index du volume, inscrit au bas du premier folio, dont chaque ligne est précédée du caractéristique pied de mouche.Après la mort du cardinal, le manuscrit passe à Pietro Strozzi, qui le fait venir en France, et de là à Catherine de Médicis.Après la mort de la Reine en 1589, sa bibliothèque est finalement intégrée en 1594 à celle du roi. Sur l’inventaire de décès de la Reine (Paris. lat. 14359 ff. 457r-482r), il porte le n. 17, chiffre inscrit au bas du f. 1 à côté de la signature du cahier. C’est à ce moment que tous ces volumes reçoivent une reliure aux armes d'Henri IV.
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