Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, Français 25453

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  • Titre attesté :
    • Paraphrase en vers sur Et Verbum caro factum est
  • Autre forme de la cote :
    • PARIS, Bibliothèque nationale de France, Manuscrits, fr. 25453
    • Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, Français 25453
    • Paris. BnF, Français 25453
  • Conservé à : Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits
  • Date de fabrication :
  • Écriture :
    • Ecriture humanistique
  • Décoration :
    • Enluminé par l'Exécutant principal des Statuts de l'ordre de Saint-Michel
  • Support : Parchemin
  • Composition :
    • 43 ff.
  • Dimensions :
    • 170 x 125 mm (just. 110 x 80 mm)
  • Aspects codicologiques :
    • 8 cahiers : 1 cahier de 2 ff. (contregarde + 1, en réalité une garde volante), 1 cahier de 7 ff. (2-8 ; le f. 8 est monté), 5 cahiers de 6 ff. (9-38), 1 cahier de 6 ff. (39-44 ; le f. 44 est un contregarde).
      Ni réclames, ni signatures.
      Foliotation à l'encre noire, XIXe siècle
    • Paris. 43 ff., 170 x 125 mm (just. 110 x 80 mm).
  • Réglure :
    • Réglure à l'encre rouge
  • Reliure :
    • Reliure de velours rouge, tranches dorées, traces de deux lacs de tissu en gouttière, XVIIe siècle (?).
      Il ne s'agit pas de la reliure d'origine, comme le prouvent les trous de passages de vrillettes sur les contregardes. Les contregardes ont été décollées et recollées sur les nouveaux plats.
      Reliure restaurée avant 1957.
      Caisson inférieur du dos consolidé en 2019
  • Estampille :
    • Estampille de la Bibliothèque royale au XVIIIe siècle

Présentation du contenu

Source des données : BnF Archives et manuscrits

  • Et Verbum caro factum est est un passage du prologue de l'Evangile selon saint Mathieu portant sur l'incarnation du Verbe.

    F. 2 : Page fronstipice enluminée. Armes du dauphin, Écartelé, au premier et au quatrième, d’azur aux trois fleurs de lis d’or, qui est de France moderne, et au second et au troisième, d’or au dauphin d’azur, qui est de Viennois, couronnées et ceintes du collier de l'ordre de Saint-Michel, sur fond d'azur semé de F et de dauphins d'or.
    F. 2v : Miniature à pleine page. Enlumineur à l'oeuvre.
    Commence par : "Par ung matin contemplant la puissance d'eternité de troys en une essence [...]". Finit par : "[..] Les Chrestiens contrainctz ou voulluntaires vivant soubz ply de adveuz tributaires. [Devise :] Mieux que pis [dans un cartouche]".

    Le manuscrit est datable entre 1532, année où le dauphin fut certainement fait chevalier de l'ordre de Saint-Michel, et 1536, année de sa mort.

Armoiries et marques

Paris, BNF, fr. 25453, f. 2 (Armoiries de François II)

Intervenants

Anciens possesseurs

Anciennement dans

Historique de la conservation

Source des données : BnF Archives et manuscrits

  • Réalisé pour le dauphin François de France (armes, chiffre et emblème au f. 2) ; acheté le 1er mars 1565 (n.st.) par Guillaume Guyon auprès de Claude Lenfant (mention au f. 44 : "Maistre Guillaume Guyon, procureur en Parlement, m'a achetees au Palais, de Claude Lenfant, mercier patenostrier, en mars le premier jour qu'on dict mil cinq cens soixant quatre. [Signé] Go. Guyon" ; sa signature se trouve aussi au f. 1 avec la devise "Sic te fata vocant, non sorte sed virtute") ; François-Roger de Gaignières ; acquis en 1717 avec une partie des collections de celui-ci ; ancien fonds royal.

Sources des données