Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
Moteur de recherche de manuscrits et livres anciens numérisés et intéropérables
Plateforme collaborative de gestion de publication des données d'autorité Biblissima
Aide à la lecture et apprentissage des langues anciennes, outils et environnements de travail en XML
Service d’expertise autour des standards IIIF
Référentiel d'autorité Biblissima : https://data.biblissima.fr/entity/Q53951
Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
(ff. 1r-95v) Alexandre d'Aphrodise, Commentaire aux Météorologiques d'Aristote, éd. M. Hayduck, Alexandri in Aristotelis Meteorologicorum libros commentaria [CAG, III, 2], Berlin, 1899 : (ff. 1r-26v) livre I : [titre et titre final] ἀλεξάνδρου ἀφροδισιέως εἰς τὸ πρῶτον τῶν μετεωρολογικῶν ; (ff. 26v-55v) livre II : [titre] εἰς τὸ δεύτερον ; [titre final] εἰς τὸ δεύτερον τῶν ἀριστοτέλους μετεωρολογικῶν ; (ff. 55v-74v) livre III : [titre] εἰς τὸ τρίτον ; [titre final] ἀλεξάνδρου ἀφροδισιέως εἰς τὸ τρίτον τῶν ἀριστοτέλους μετεωρολογικῶν ; (ff. 74v-95v) livre IV : εἰς τὸ τέταρτον.
Source des données : Pinakes
Manuscrit provenant de la bibliothèque du cardinal Nicolò Ridolfi. Le f. 1r comporte un pinax de la main de son bibliothécaire, Matthieu Devaris, qui a également inscrit plusieurs cotes successives : dans la marge supérieure n° 44 secundae ; dans le coin supérieur externe et dans la marge inférieure à la suite du pinax, n°65 corrigé enn° 64.
Le manuscrit avait peut-être appartenu à Nicolò Leoniceno.
A la mort du cardinal Ridolfi en 1550, sa collection de manuscrits est achetée par le maréchal de France Pierre Strozzi.
Lorsque la veuve de Pierre Strozzi fait transporter en France ses collections d'objets et de livres, les manuscrits rejoignent la bibliothèque de Catherine de Médicis sur la promesse d'une compensation qui ne sera jamais payée ; ils sont entreposés pour catalogage chez le bibliothécaire de la reine, Jehan Baptiste de Benciveni ; c'est là que les trouvent à la mort de Catherine de Médicis en 1589 les commissaires chargés d’inventorier ses biens en vue d’une saisie demandée par ses créanciers. En 1594, le président de Thou, nouveau maître de la librairie royale, obtient des lettres patentes ordonnant que les livres conservés chez Jehan Baptiste de Benciveni soient joints à la bibliothèque du roi ; l’opposition des créanciers retarde jusqu’en 1599 l’exécution de ces lettres.
Exports RDF à venir…
Vous pouvez visualiser et manipuler ce document directement sur ce site, le comparer à d'autres grâce au visualiseur Mirador, ou glisser-déposer cette icône dans le visualiseur IIIF de votre choix. En savoir plus sur IIIF