Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
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Manifeste IIIF
Numérisation intégrale
Source des données : BnF Archives et manuscrits
ff. 1-24r : Euclide, Optica (recension Theonis), éd. J.L. Heiberg, Euclidis opera omnia, vol. 7, Leipzig Teubner, 1895. Εὐκλείδου Μεγαρέως ὀπτικά. Inc. Τὸ προοίμιον ἐκ τῆς τοῦ θέωνός ἐστιν ἐξηγήσεως. Expl. ὁμοίως γὰρ δείξομεν τὰ συμβαίνοντα <καθάπερ> καὶ ἐν τοῖς κύκλοις / τέλος τῶν ὀπτικῶν. f. 24v vacat.
ff. 25r-36v : Euclide, Catoptrica (recensio Theonis ?) éd. J.L. Heiberg, Euclidis opera omnia, vol. 7, Leipzig Teubner 1895, Εὐκλείδου κατοπτρικά, expl. ὥστε ἐνταῦθα στύππιον τεθὲν ἐξαφθήσεται / κατοπτρικῶν.
ff. 37r-65r : Euclide, Phenaomena (recensio b), éd. H. Menge, Euclidis opera omnia, vol. 8, Leipzig Teubner, 1916. Εὐκλείδου φαινόμενα, expl. ἡ τυχοῦσα τῆς τυχούσης / τέλος τῶν Εὐκλείδου φαινομένων.
Source des données : Pinakes
La souscription d’Ange Vergèce nous précise que ce codex a été copié à Paris en 1565 ou 1566 pour Michel de l’Hospital. A la mort de ce dernier en 1573, il est transmis avec l’ensemble de sa bibliothèque à son petit-fils Michel Hurault de l’Hospital, neveu de Jean Hurault de Boistallé, éminent bibliophile (P. Anselme). On perd ensuite la trace de ce manuscrit avant la fin du XVIIè siècle.Sur le premier folio, une main a commencé à inscrite un ex libris, mais par deux fois, elle n’a pas fini d’écrire le x. On trouve en revanche, au bas de la page, le nom d’Etienne Baluze : Stephanus Baluzius Tutelensis. On ignore ce qu’il est advenu de la bibliothèque de Michel Hurault de l’Hospital après son décès en 1592. Il a sans doute été repéré pour le compte de Colbert. Le chemin que ce manuscrit a parcouru entre les bibliothèques de Colbert et Baluze n’est pas clair ; il a sans doute fait l’objet d’un échange ou d’un cadeau entre ces deux collectionneurs. Une confrontation avec les divers catalogues de la bibliothèque colbertine pourrait peut-être trancher la question, en prenant en compte le changement de numéro d’inventaire chez Colbert. Selon Jackson, il s'agirait d'un cadeau de Baluze à Colbert (voit p. 34, note 18).Le codex a donc été acquis par la bibliothèque royale soit à partir de la collection Baluze, soit celle de Colbert. Celle de Baluze fut acheté en 1719, celle de Colbert fut acquise en 1732.
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