Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
Moteur de recherche de manuscrits et livres anciens numérisés et intéropérables
Plateforme collaborative de gestion de publication des données d'autorité Biblissima
Aide à la lecture et apprentissage des langues anciennes, outils et environnements de travail en XML
Service d’expertise autour des standards IIIF
Référentiel d'autorité Biblissima : https://data.biblissima.fr/entity/Q120277
Source des données : BnF Archives et manuscrits
< François Guyet > (1575-1655), Notes d’étymologie grecque et latine rassemblées sans ordre, sous forme de brefs articles consacrés chacun à une racine et rassemblant les mots grecs et latins supposés de la même famille.
Source des données : Pinakes
ANNOTATIONS – Dans la confection du manuscrit, des lettres reçues par Guyet ont été réutilisées sur leur côté blanc : a(t. II, f. 188) fragment de lettre ; b(f. 452v) adresse ; c(t. III, f. 151v) lettre du 26 octobre 1651, signée Deguerrosse ; d(f. 492) fragment de lettre du 12 avril 1636, signée Tenefut (?) ; e(f. 496) lettre du 2 juin 1636, signée J. Rougier, notaire ; f(f. 539v) fragment de lettre ; g(f. 544v) fragment de lettre ; h(f. 655v) lettre de Guyet, avec la réponse au bas ; i(f. 684) lettre du 6 juin 1635, signée Demoulin. Au t. I, f. 1, de la main d’Henri Omont, titre, P. D. Huet. Etymologicon Græcum (sic).
HISTOIRE – En 1655, à la mort de Guyet, sa bibliothèque fut achetée à ses héritiers par Gilles Ménage qui lui-même, avant de mourir en 1692, légua ses livres à la Maison professe des jésuites de Paris (cf. Franklin, Anciennes bibliothèques de Paris, t. II, p. 270). Quant aux papiers de Guyet, il semble que Gilles Ménage en attribua au moins une partie à Simon de Valhébert, de l’Académie des Sciences (cf. Grec 2742, f. 4, et Latin 11271, f. 1v, notes de la main de Valhébert ; cf. I. Uri, Un cercle savant au XVII e siècle. François Guyet (1575-1655) d’après des documents inédits, Paris 1886, pp. 121 et 130, à propos de livres annotés par Guyet). Le destin de notre ms. semble encore différent puisque, vers le milieu du XVIIIe s., il appartenait à M. de Saint-Port, à la mort duquel il fut acheté pour la Bibliothèque royale (cf. t. I, f. 1v, note datée du 7 octobre 1752 écrite par l’abbé Claude Sallier, garde des imprimés à la Bibliothèque du roi ; cf. Omont, Supplément grec, p. VIII, n. 2, reproduction de cette note). Le numéro LI au bas du f. 1v indique la place du ms. dans la section grecque du catalogue provisoire établi peu après juillet 1753 (Archives Ancien Régime 71, f. 90 : « LI. Recueil de différentes remarques sur la langue grecque ; de Mr Guiet, au nombre de 25. cahiers in fo » ; cf. Suppl. gr. 6). Notice de Ch.-B. Hase dans le Suppl. gr. 1003, ff. 23-27. Estampille de la Bibliothèque royale (Monarchie de Juillet) aux t. I, ff. 2, 817v et 818v, t. II, ff. Iv, 1, 869v et 871v, et t. III, ff. 1, 2, 692v et 697v (type Josserand-Bruno 25).
Exports RDF à venir…
Vous pouvez visualiser et manipuler ce document directement sur ce site, le comparer à d'autres grâce au visualiseur Mirador, ou glisser-déposer cette icône dans le visualiseur IIIF de votre choix. En savoir plus sur IIIF