Historique de la conservation

Source des données : BnF Archives et manuscrits

• ANNOTATIONS – Quelques variantes et remarques d’une main plus récente (cf. ff. 11, 250v). Au f. I, noms, Γαβριἢλ ιερόμοναχος à l’encre noire et Νειλος ἱερομόναχος à l’encre rouge effacée. Au f. 174, dans la marge inférieure, 1 Co 8, 13, recopié par une main malhabile. Au f. 235, monocon¬dyle effacé, Ἰερεμιας ιερομοναχος. Au f. 326v, mention de Γεωργίου τοῦ Κωκανοῦ καὶ Νικίτα τοῦ πατρὸς αὐτοῦ. Au f. 407v, citation proche de Qo 7, 3-4, essais de plume et indication en grec du contenu.

  HISTOIRE – Au XII e s., le ms. est acheté pour quinze hyperpères par le moine Cosmas (f. 407, note à la suite du texte, ἡγοράσθη παρὰ τοῦ ἱερομονάχου Κοσμᾶ εἰς ὑπέρπυρα δεκαπέντε). En 1744, Louis d’Orléans, fils du Régent, en fait don à la Bibliothèque de la Sorbonne (f. Iv, Ex dono et munificentia Serenissimi ac Religiosissimi Principis Ludovici Philippi Ducis Aurelianensis anno 1744 ; cf. Delisle, Cabinet des manuscrits, t. II, p. 203) ; mais, entré après la rédaction vers 1740 du catalogue de Guédier de Saint-Aubin, il est enregistré en addi¬tion (cf. Ch. Astruc, « Les manuscrits grecs de Richelieu », Scriptorium 6, 1952, p. 13, n. 70, et p. 17). Au f. Iv, cote de la Sorbonne (283b) et notice de la main de Gayet de Sansale. Cachet de la Sorbonne (cf. ff. 1, 99v, 185v, 407 ou 407v). Il rejoint la Bibliothèque nationale en 1796 avec les manuscrits de la Sorbonne. Estampille de la Bibliothèque nationale (Première République) aux ff. 1 et 407v (type Josserand-Bruno 17).