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Source des données : BnF Archives et manuscrits
ff. 1r-35v : Héron d’Alexandrie, De Automatis, éd. W. Schmidt, Heronis Alexandrini opera quae supersunt omnia, vol. 1, Leipzig Teubner, 1899, pp. 338-452. Ἥρωνος Ἀλεξανδρέως περὶ αὐτοματοποιητικῆς, inc. τῆς αὐτοματικῆς πραγματείας... expl. οἰκονομοῦνται ὅτι διαλάσσονται / λείπ(ει). ff. 36r-38r : vacat. 38v : note latine qui se rapporte à la suite.
ff. 39r-57r : Héron d'Alexandrie, Pneumatica, W. Schmidt, Heronis Alexandrini opera quae supersunt omnia, vol. 1, Leipzig Teubner, 1899. Titre : ἐκ τῶν πνευματικῶν Ἥρωνος. Sont contenus ici le Livre I, chapitres 2-23. Inc. Ἐστω σμηρισμάτιόν τι..., Expl. …ἡ βία κατακρατήση τοῦ κρουνοῦ. Dans la marge inférieure, Ange Vergèce ajoute le début du chapitre suivant, puis renvoie à la partie déjà copiée (Paris. gr. 2518, f. 16v) : …ἀγγεῖον ἐμβάλωμεν / καὶ τὰ λοιπὰ ζήτει ὅποθεν, ἐν κεφάλαιον ε᾿.
Source des données : Pinakes
Rien n’indique que la copie des deux parties ait été effectuée au même moment. La copie de la fin du codex (ff. 39-57) a été enlevée à l’actuel Paris. gr. 2518, à la suite du f. 71. Elle se situe donc dans les années qui précèdent la venue d’Ange Vergèce à Paris en 1539. Les filigranes identiques suggèrent que le traité sur les automates aurait été copié à la même époque. Si l’ensemble du Paris. gr. 2518 semble avoir été copié à partir du Marc. Gr. 263, ce ne peut pas être le cas du Paris. gr. 2520, puisque ni le traité sur les automates, ni les chapitres 6-23 du premier livre des Pneumatica n’y figurent. Deux notes latines précisent où trouver les parties manquantes du traité : au f. 38v, on lit Desunt folia 12, quae sunt initio reginensi exemplaris. Au f. 57v : Desunt in fine folia 41, quae sunt in exemplari reginae.La présence d’une cote grattée au f. 1, Huit Vingt Sept, ainsi que la provenance assurée de la bibliothèque de Colbert, permettent à Jackson (p. 109) d’identifier ce manuscrit comme provenant de la bibliothèque de Jean-Jacques de Mesmes (†1569). Il ne figure pas, cependant, au catalogue d’inventaire qu’en donne Bernard de Montfaucon (Bibli. Bilbl. II, 1326-1328).Les manuscrits de la famille De Mesmes ont pour une grande part été offerts à Colbert par la duchesse de Vivonne, descendante directe de la famille De Mesmes. Le manuscrit fut acquis par la bibliothèque royale avec l'ensemble de la bibliothèque de Colbert en 1732.
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