Pierre Porret (15..-159.?)

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  • Autres graphies :
    • PIERRE PORRET
    • Pierre Peret
  • Naissance : 1501 (pas avant)
  • Mort : 1599 (pas après) (Information incertaine)
  • Notes :
    • Marchand apothicaire et bourgeois de Paris, proche de Christophe Plantin (M. Rooses, Le musée Plantin-Moretu. La vie et l'oeuvre de Christophe Plantin et de ses successeurs les Moretus ainsiq ue la description du musée et des collections qu'il renferme, Anvers, 1913, p. 4-7, 37-39, 171, 379, https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5696765j ; D. Pallier, "L’apothicaire Pierre Porret, ami et agent de Plantin", De Gulden Passer, 94/2, 2016, p. 219-262). Son expertise en la pharmacopée et l'art de distiller est louangée par Jacques Besson dans son traité "L'art et moyen parfaict de tirer huyles et eaux de tous medicaments simples et oleogineux", Paris, 1571, p. 17 (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k15141252/f33). Qualifié d'"homme tres-ingenieux et bon simpliste" par Jean Gohory dans la préface au traité "Seconde partie contenant vn brief traitte de la racine Mechoacan, venue de l'Espagne nouuelle : medecine tres-excellente du corps humain, (blasonnée en mainte region la Reubarbe des Indes), traduit d'espagnol en françois par I. G. P. [Jacques Gohory, parisien], Paris, 1572, p. 3 (https://books.google.fr/books?id=7hI8AAAAcAAJ&pg=PA3, https://mdz-nbn-resolving.de/urn:nbn:de:bvb:12-bsb10314274-7). Testament en date du 1er septembre 1591 publié par J.-F. Maillard ("Christophe Plantin et la Famille de la Charité en France: documents et hypothèses", dans Mélanges sur la littérature de la Renaissance à la mémoire de V.-L. Saulnier, Genève, 1984, p. 235-253) (Source : Biblissima)

Notice bibliographique

Source des données : Bibliotheques françoises

PIERRE PORRET Dauphinois, tresexcellent apotiquaire, &c. homme bien expert pour les distillations, tresingenieux, & grand simpliste ou herboriste. Je n'ay point cognoissance de ses escrits, voy de luy la praeface de Jaques Besson Dauphinois, en son traicté de la maniere de tirer des huilles, &c. lequel le loüe grandement, comme aussi fait Jacques Gohorry Parisien, en son traicté de la racine Mechiocam.

Autre personne citée dans la notice :

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